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Romans, Page 2

La Reine de Cœur

Une jeune mendiante. Le fils d’un paysan. Rien ne les prédestinait à voir leurs existences liées; pourtant, afin de se sauver mutuellement la vie, les voilà lancés dans une quête trépidante qui les mènera jusqu’à l’antre d’une sorcière redoutée : la Reine de Cœur.

Sylvanie

Sylvanie a tué Max et la torture lente qu’il lui imposait depuis l’enfance. Elle devrait se sentir délivrée, mais peine à se maintenir à la surface de sa vie. La rencontre de William et de ses amis du Cannibale pourrait être une bouée de sauvetage. Ce sera une nouvelle occasion de sombrer.

Onirine

Entre Genève et La Côte, des accidents mystérieux frappent des patients soignés avec un médicament expérimental. Les industries du divertissement, du spectacle et du voyage sont très inquiètes à propos des effets que l’utilisation de ce médicament pourrait avoir. Et la mafia garde un œil attentif sur les développements de l’affaire.

Eva

De la place Roger-Federer aux rues abandonnées de Lausanne et Fribourg, le deuxième volume de cette trilogie entamée en 2017 avec Le Mîlenarium nous plonge une nouvelle fois au cœur de Lemania, la Romandie de 2049. Un futur pas si lointain, à portée de technologie et de choix de société.

Nafasam

Prix Lettres Frontière 2019Prix de la Loterie romande 2019 Chirine Sheybani Cousu Mouche2018186 pages Version papier Le livre Augustin et Sepideh. Deux …

Un amour parfait

de Lolvé Tillmanns
Deux enfants s’aiment. Mais ce que l’on attend d’eux et les préjugés familiaux vont peu à peu mettre cet amour à mal. Elisabeth est vouée à l’excellence et fait tout ce qu’il faut pour répondre aux attentes.

La Faute au loup

de Yves Mugny
Un blaireau menotté, des fennecs aux abois et monsieur Baudet himself élu ministre de la flicaille… Renart a décidément bien choisi son moment pour reprendre du service. Genève tourbillonne entre les dons d’organes et les renvois forcés. Et La Faute au loup y fait valser la gent plumée ou poilue, dans un truculent polar animalier vibrant d’actualité.

Le Mîlenarium

de Fabien Feissli
Alors que l’année scolaire se termine, les gymnasiens de la ville sont invités à découvrir le Mîlenarium, le tout nouveau bâtiment de l’EPFL, érigé au milieu du Léman. Très vite, la journée portes ouvertes dégénère en une gigantesque prise d’otages, et une poignée d’étudiants se réfugient dans les entrailles de l’île artificielle.

Le Siège de Montfureur

de S. G. Couture et M. Perruchoud
Armés de leur soif et de leur inconscience légendaires, les deux compères, entre traîtrises et morceaux de bravoure, parviendront à trouver des chemins détournés et à changer le cours de la guerre. Tout cela sur un rythme effréné et dans une langue à nulle autre pareille.

L’Héritier de Minnetoy-Corbières

de Sébastien .G Couture et Michaël Perruchoud
Cette nouvelle aventure de Ceux de Corneauduc nous offre tous les ingrédients de l’épopée. Amitié virile et faits d’armes improbables sont au menu, portés par les plumes enthousiastes de Sébastien G. Couture et Michaël Perruchoud.

Les Fils

de Lolvé Tillmanns
Dans une petite ville romande, deux garçons s’affrontent. Cédric sera le souffre-douleur et Raphaël le harceleur. Trente ans plus tard, les rôles de l’enfance n’ont plus cours.

Baba au rhum

de Philippe Lamon
Vous avez accepté d’écrire la biographie de Veronica Lippi, star des années 80, couguar quinquagénaire posant nue avec son python domestique, ou faisant ériger un minaret sur le toit de son chalet valaisan.

Ceux de Corneauduc

de Sébastien .G Couture et Michaël Perruchoud
C’est la guerre à Minnetoy-Corbières. Le Duc fait lever une armée pour récupérer son épouse, enlevée par un Baron ennemi… À moins que toute l’affaire ne soit qu’une sinistre manigance destinée à le faire abdiquer.

Rosa

de Lolvé Tillmanns
Rosa, sur son lit d’hôpital, demande à ses petits-enfants de bien vouloir écrire l’histoire de leur vie. Cette autobiographie familiale embrassera les générations et mettra en lumières les secrets les mieux cachés. Lolvé Tillmanns nous offre un grand roman familial, une fresque qui remonte le temps et se frotte à notre histoire.

En eau salée

de Fabien Feissli
Florent s’est engagé dans la marine parce que la vie en Suisse lui était devenue impossible. S’il a été acquitté d’un meurtre qu’il prétend ne pas avoir commis, la vindicte populaire le poursuit. Mais loin des côtes, la mort s’invite à bord du porte-conteneurs SO Lausanne.

La Porte

de Fred Bocquet
Une petite fille est morte, frappée à coups de couteau. Elle est tombée devant une porte, qui ne s’est pas ouverte. Autour d’elle, on se désole, on philosophe, on s’indiffère, on se souvient, on voudrait mourir, et on essaie de vivre.

Car c’est aussi une ode à la vie, à ce qu’elle pourrait – aurait pu – être que nous tisse Fred Bocquet, observatrice émue au chevet de l’irréparable.

Mendiant 3458

de Mark Levental
Ibrahim Balesteros, bon Genevois, bien intégré, sort de chez lui en training pour s’acheter des cigarettes… sans papiers d’identité. En vertu du renvoi des mendiants en 45 minutes, il est expédié dans un charter pour la Roumanie. Il devra franchir bien des embûches pour retrouver les terres genevoises alors que se prépare la Révolution de houblon.

33, rue des Grottes

de Lolvé Tillmanns

Genève, un immeuble tranquille entre grands rêves et petites fêlures. De la cave à l’attique, des univers se côtoient, dans ce quartier des Grottes où les êtres se mélangent, semble-t-il mieux qu’ailleurs, et où rien de grave ne saurait arriver. Et puis cela arrive. Un message en majuscules qui défile sur l’écran plat. Et la charmante chronique devient le manuel de l’impossible survie.

Comment j’ai vengé ma ville

de Philippe Lamon
Benjamin Mercey est un dilettante vaguement mélancolique qui laisse sa vie sombrer peu à peu, sans opposer grande résistance. Entre une vie intime tributaire des exploits tennistiques de Roger Federer, et un métier de correcteur dans un quotidien de boulevard, il ne s’imagine guère d’avenir.

La Ricarde

de Fred Bocquet
Portrait d’un antihéros qui doit se mettre sur la pointe des pieds pour vivre à hauteur d’espoir, description d’un camping de gauche où les aigreurs d’estomac voisinent avec les claques dans le dos, La Ricarde, c’est à la fois la caricature drolatique et la description clinique d’un petit monde à l’humour souvent truculent. Avec tendresse, mais sans pitié pour les personnages qu’elle croque, Fred Bocquet s’en donne à cœur joie dans son style où l’on retrouve un petit peu d’Audiard et de Jean‑Paul Dubois, une certaine cruauté féminine en plus.