Après le retour d’une contrée très très lointaine, jour après jour, il me fut nécessaire de trouver la force d’accomplir les efforts qui, peut-être, devaient me permettre à nouveau de cheminer … C’est alors qu’il y eut des notes et une voix puis, plus tard, un sourire, qui m’ont soutenu au-delà de toute souffrance.
Mon antalgique, que dis-je, ma morphine : Louis Armstrong et What a Wonderful World.
Pascal Launay